Le libellé du titre de l’édition de 1967 est La Marge, celui de 1981, La marge. La couverture originale physiquement dégradée n’a pas été reprise et a été remplacée par une vraie-fausse couverture. Un portrait de l’auteur a aussi été ajouté.
Formats proposés dans une archive .zip : odt, ePub (+) avec fontes embarquées, ePub (-) sans fontes embarquées, PDF 9x12, PDF 9,7 pouces. Les deux PDF ont été produits à partir de l'ePub (+). Utilisation de polices incorporées lisibles sur tous appareils compatibles ADE et sur iPad et de vraies fines insécables [ePub (+) et PDF].
André PIEYRE de MANDIARGUES (1909-1991), a laissé une œuvre littéraire importante s’inscrivant dans le courant surréaliste auquel il appartint. Ce passionné d’érotisme et de fantastique, qui a touché à tous les genres littéraires (poésie, romans, contes, nouvelles, essais, théâtre), obtint le prix Goncourt 1967 pour son roman La Marge qui connut, sous le même titre, une adaptation cinématographique en 1976.
Les déambulations d’un homme désespéré dans les bas quartiers de Barcelone
Le Français Sigismond Pons quitte sa jeune épouse et son fils pour un court voyage d’affaires en Espagne. En arrivant à Barcelone, il reçoit une lettre de sa famille. En l’ouvrant, il se glace en distinguant ces quelques mots : « Elle a couru à la tour des vents. Elle a monté la spirale. Elle s’est jetée du haut. Elle a expiré tout de suite. ». Incapable émotionnellement d’en continuer la lecture, il la met dans sa poche, et comme un somnambule, va vivre pendant trois jours dans le quartier chaud de Barcelone. Graduellement son esprit se fixe sur deux images : celle de l’amour, sous la forme d’une très jeune prostituée, et celle de la mort représentée par cette ville hantée par le caudillo. Il achève enfin la lecture de la lettre, et découvre que son horreur va encore au-delà de celle qui l’a habité ces derniers jours.
Description:
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Le libellé du titre de l’édition de 1967 est La Marge, celui de 1981, La marge.
La couverture originale physiquement dégradée n’a pas été reprise et a été remplacée par une vraie-fausse couverture. Un portrait de l’auteur a aussi été ajouté.
Formats proposés dans une archive .zip : odt, ePub (+) avec fontes embarquées, ePub (-) sans fontes embarquées, PDF 9x12, PDF 9,7 pouces. Les deux PDF ont été produits à partir de l'ePub (+).
Utilisation de polices incorporées lisibles sur tous appareils compatibles ADE et sur iPad et de vraies fines insécables [ePub (+) et PDF].
André PIEYRE de MANDIARGUES (1909-1991), a laissé une œuvre littéraire importante s’inscrivant dans le courant surréaliste auquel il appartint. Ce passionné d’érotisme et de fantastique, qui a touché à tous les genres littéraires (poésie, romans, contes, nouvelles, essais, théâtre), obtint le prix Goncourt 1967 pour son roman La Marge qui connut, sous le même titre, une adaptation cinématographique en 1976.
Les déambulations d’un homme désespéré dans les bas quartiers de Barcelone
Le Français Sigismond Pons quitte sa jeune épouse et son fils pour un court voyage d’affaires en Espagne. En arrivant à Barcelone, il reçoit une lettre de sa famille. En l’ouvrant, il se glace en distinguant ces quelques mots : « Elle a couru à la tour des vents. Elle a monté la spirale. Elle s’est jetée du haut. Elle a expiré tout de suite. ». Incapable émotionnellement d’en continuer la lecture, il la met dans sa poche, et comme un somnambule, va vivre pendant trois jours dans le quartier chaud de Barcelone. Graduellement son esprit se fixe sur deux images : celle de l’amour, sous la forme d’une très jeune prostituée, et celle de la mort représentée par cette ville hantée par le caudillo. Il achève enfin la lecture de la lettre, et découvre que son horreur va encore au-delà de celle qui l’a habité ces derniers jours.